Bonjour à toutes et à tous,

J'ai une envie de vous décrire à quoi ressemble mon addiction pour les lavements et qu'ils ne sont en fait qu'un prétexte à d'autres pratiques toutes aussi particulières... Comme vous avez surement pu le lire, j'ai publié deux courts récits sur mon initiation aux lavements. Voir les récits "Une initiation aux lavements qui se transforme en addiction". Depuis mes années collège, après cette fameuse découverte, je n'ai jamais vraiment pu m'arrêter. Pour vous dire. Après ma première session de lavements chez ma toubib. A peine rentré à la maison, je me suis précipité à la salle de bain et je m'y suis enfermé. Je me suis mis nu, de face devant un miroir qui va du sol au plafond. Je me suis retourné, penché en avant et écarté mes fesses de mes deux mains pour observer mon anus. Pour observer cet endroit qui venait de me troubler à un tel point que dans cette position, j'en ressentais une forte excitation. Soudainement, une idée m'a traversé l'esprit. J'ai eu envie de revivre ces sensations de remplissage. Ni une, ni deux, je me suis dirigé vers le pommeau de douche de la baignoire. Je l'ai dévissé, pris soin de retirer le joint d'étanchéité et laissé coulisser la bague de vissage le long du tuyau.

J'étais désormais en possession d'un outil qui allait devoir me permettre de satisfaire cette énorme envie. J'ai consciencieusement pris soin de régler la douche avec une température agréable. Plutôt tiède que chaude et avec un faible débit. Je me suis assis les fesses sur le rebord de la baignoire. Et j'ai dirigé le bout du tuyau vers mon anus. J'ai tenu l'embout, fermement posé sur mon trou. Et ooooooh.... J'ai senti l'eau s'infiltrer en moi. Quelle douce sensation. Un délice. Je me sentais vicieux, pervers. J'adorais ça. J'ai tenu un petit moment à me remplir le fondement. Jusqu'à ce que mon anus me rappelle à l'ordre. Quand tu te sens tellement plein que la sensation est la même en plus forte que celle d'avoir envie d'aller à la selle. Mmmmmh, que de sensations délicieuses. De sentir sont anus lutter, tenir bon. Cette attente, délicieusement insupportable. Et ce point de non retour où tu sens que tu ne vas plus pouvoir rien retenir. Tu accoures vers les toilettes. Lieu de délivrance. Et là, tu t'assois, près du but. Et tu te soulages, d'une traite, d'une énorme cataracte libératrice. S'en est presque jouissif. Éprouvant. Tu sens ton anus vivant. Totalement relâché. Palpitant.

Et je retourne à la baignoire, pour un deuxième remplissage. J'en veux encore. J'en veux jusqu'à ce que l'eau qui ressorte de mon corps soit parfaitement limpide. C'est un de mes prérequis pour la suite.

Après quatre ou cinq lavements, je suis bien propre. Mon anus bien détendu. C'est à ce moment là que je ressens une énorme envie de jouer avec. De le nourrir. Je suis un tres grand consommateur de gel et j'adore m'en injecter une seringue directement dans le rectum. Une fois bien lubrifié, je ne peux pas m'empecher de me doigter. Un, puis deux, puis trois, pour finir avec quatre. Je joue de ma main dans mon trou. J'étale bien tout ce bon gel. Je me sens m'ouvrir, m'élargir. Ca me rend dingue ! Et ensuite j'ai envie d'autre chose. Quelque chose de plus gros. Et à l'époque avec l'argent de poche que j'avais, je ne pouvais pas me permettre d'acheter de beaux jouets. Du coup...

J'allais qu rayon fruits et légumes... Et je salivais devant les aubergines... J'observais leurs longueurs, leurs grosseurs. J'évaluais quelles seraient les trois ou quatre belles aubergines me feraient progresser. Je me lançais à en choisir qui me plaisent. Certaines énormes. J'avais honte d'en prendre avec de tels calibres. Mais cette pensée me rendait dingue.

Du coup, équipé de mes jolis légumineux, je commence par l'aubergine la plus modeste en taille. Je l'introduis par le côté le plus arrondi. Elle doit faire un bon vingt centimètres par quatre ou cinq de large. La texture sur mon anus est délicieuse. je pose le bout sur mon trou. Je frissonne à la pensée de ce que je suis sur le point de faire. Je frotte le bout sur ma rondelle. J'adore les sensations de la douceur de l'aubergine et du gel qui glisse sur mon anus. Je commence à pousser pour m'introduire l'aubergine. La sensation est très bizarre. Je sens mon anus s'évaser doucement. Je sens que ça tire. Mais plus je l'enfonce, plus je ressens le besoin que mon anus s'ouvre sur cette belle forme oblongue. Je continue de pousser... Mmmmmh, c'est doux, c'est bon. J'ai adoré cette sensation de sentir mon anus écartelé.

Allez, il faut y aller. Je pousse d'une longue traite. Je sens l'aubergine glisser. C'est délicieux. J'ai un mal fou à croire aux sensations exquises que me procure cette pénétration. Je joue avec mon jouet végétal. Je le fais coulisser. Lentement, puis plus rapidement. Une pensée me traverse à nouveau l'esprit... Jusqu'où peut-il rentrer. Je rougis moi même d'avoir cette pensée si perverse. Et le pire c'est que ça m'excite.

Je me fous à quatre pattes devant le miroir de la salle de bain, et je me fourre à nouveau l'aubergine. Je l'enfonce lentement mais surement.... 5 cm... puis 10 cm. Cette vision me rend dingue. Me voir à quatre pattes, avec une aubergine dans le cul. Mmmmmh. Je pousse encore... 15cm... Les sensations sont délicieuses. Je sens que ça bloque un peu... Je ne force pas. Je fais tourner mon jouet à l'intérieur de mon cul. J'essaie de faire les rotations les plus larges qui soient à l'intérieur. Et en passant, quel massage délicieux !

tout en tournant, je continue de pousser délicatement. Et soudainement, je sens que le légume se bloque à je ne sais quoi. Je pousse encore un peu, et oooooh, je le sens progresser encore plus profond. Je me retrouve avec juste la queue verte du légume qui dépasse de mon cul. Cette vision m'affole, me rend dingue ! Je n'arrive pas à croire que je puisse être comme ça. Ma queue est trempée, elle a formé une belle auréole de liquide séminale sur le sol. Ohlala mais qu'est ce que je fais là ??? Je me branle toujours lors de mes séances de lavements.

Et là, je vois les autres aubergines, toutes plus grosses que la première que j'ai dans le cul. J'ai une bouffée de chaleur à la vu de ces légumes énormes. Une malsaine envie de jouer avec aussi. Je me sais de la deuxième qui fait un bon trente centimètres sur six diamètre. En là saisissant, je me suis dit, Ohlala, quel morceau. Et dire que tu as envie de te mettre ça hein ? Tu n'as pas honte petit pervers... Et je me disais. Oh que non, je veux essayer. J'ai bien lubrifié l'objet du crime et je me suis remis à 4 pattes. Le cul face au miroir. Quelle vision. J'avais l'anus tout luisant de gel. Encore marqué de la première aubergine. A la vue de mon trou, j'ai pas pu attendre et j'ai posé le bout de mon nouveau jouet sur ma rondelle. Elle a presque réagit comme une bouche en sentant le bout arrondi se poser sur mon anneau. J'ai regardé la scène dans le miroir et j’ai commencé à me l'introduire....

Mmmmmh mais quel délice. Je me sentais m'ouvrir encore plus qu'avec la première. Divin. Je n'y suis pas allé en prenant mon temps cette fois ci. J'ai enfoncé quinze centimètres direct jusqu'à sentir le point de blocage. Puis je me suis penché en avant, le cul en buse. J'ai fais des cercles avec le bout de l'aubergine dans le fond de mon rectum jusqu'à sentir l'ouverture. C'est à ce moment là que c'est jubilatoire. Tu forces légèrement, et hop, ton jouet reprend sa route. Tu te sens t'ouvrir de l'intérieur. Ca ma rendu dingue. J'ai eu une envie folle de me pousser ce truc aussi loin que possible. Je le voyais s'enfoncer, doucement.... 15, puis 20 cm... Maintenant 25cm. La vision des 5 cm restants à l'extérieur est psychologiquement planante. En voyant ça, je n'ai pas pu m’empêcher de pousser le reste dedans. Mmmmmmmh. Si vous connaissez ce genre de jeux, vous comprendrez de quoi je parle.

La plus grosse des quatre aubergines faisait 35 x 8 cm. J'ai eu honte de prendre un tel calibre lors de mes emplettes. Mais je peux vous dire que quand je me la suis mise dans le cul, je suis devenue carrément chienne. je me suis bourré le cul comme un dingue avec. Je me suis amusé à l'enlever, et à la remplacer par mon poing. Et ainsi de suite. Je jouis du cul comme c'est pas permis et j'adore ça.

J'ai aussi eu la chance d'initier une jeune collègue aux plaisirs anaux avec des jeux de ce genre mais ça c'est une autre histoire.